24/02/2010

Clark Little




Quitte à s'ennivrer, "de vin, de poésie ou de vertu", tournons-nous vers l'océan.
Il distille un péril glorifiant. Clark Little le goûte comme Baudelaire avant lui.
Son oeil (daltonien?) capture les shorebreaks (vagues qui cassent près du bord) d'Hawaii si proprement qu'il en tire salaire (des images à dollars, quel Spleen !).




"Homme libre, toujours tu chériras la mer
La mer est ton miroir, tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer..." C.Baudelaire.

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